Lieu d'échanges et de partages des sciences du bonheur : psychologie positive, rigologie, méditation, sophrologie ludique, joie de vivre, yoga du rire...
Chaque année, depuis sa création en 2012 par l'ONU, L'Institut des Sciences du Bonheur et l'Ecole Internationale du Rire célèbrent la Journée Internationale du Bonheur.
Soirée Bonheur "Comment les sciences du bonheur peuvent réenchanter notre vie"
Dimanche 18 Mars de 17h30 à 19h
Square Léon Serpollet, 25 Rue des Cloys, 75018 Paris
Mardi 20 Mars 2018 - 3 Conférences de 19h à 20h
Une Place à Part, 159 rue Championnet, 75018 Paris
Ouverture des portes à 18h45. Places limitées, fermeture des portes à 19h.
Complice
de Corinne Cosseron depuis 2004, Julien est titulaire d'un DEA de
Lettres Modernes et est formé universitairement à la psychologie
positive.
Intervenant en entreprise spécialisé dans la gestion
ludique du stress et des conflits, comédien, formateur en Théâtre Forum,
metteur en scène, professeur de théâtre, Master Teacher de yoga du rire
et rigologue expert, Julien est un spécialiste reconnu des jeux pour
l'entreprise, le secteur médico-social et l'enseignement.
Frédéric Cosseron :"Le bonheur en entreprise aussi"
Avocat
au Barreau de Montpellier, auteur, formateur, intervenant en
entreprises depuis près de vingt ans, formé à la psychologie positive,
Frédéric est le co-fondateur du Centre d'Application de Psychologie
Positive et des Rencontres Zygomatiques, 1er
symposium international sur les sciences du bonheur, où il présente
chaque année depuis 2002 un panorama des avancées scientifiques sur le
rire, la psychologie positive et les découvertes des neurosciences
pouvant nous aider à être plus heureux.
Créateur des "Journées
pour nous", permettant de mettre en place ces principes régulièrement
dans les PME, il est aussi co-auteur, entre autres, de "10 outils des sciences du bonheur pour les managers" (Weelearn).
Date : Mardi 20 Mars 2018 pour la 6e Journée Internationale du Bonheur
EN
2012, L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES A PRIS UNE NOUVELLE RÉSOLUTION
ET A DÉCLARÉ QUE LE 20 MARS SERAIT DÉSORMAIS LA JOURNÉE INTERNATIONALE
DU BONHEUR.
Depuis, chaque année, l'Ecole Internationale du Rire et du Bonheur la célèbre et lui consacre même tout un festival, Festi'Bonheur, qui a renrichi le Rassemblement International des Rieurs créé en 2003 par Corinne Cosseron.
Le 20 Mars 2013, pour la 1ère Journée Internationale du Bonheur, le secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a fait la déclaration suivante:
"La
poursuite du bonheur est à la base des entreprises humaines. Tous les
peuples du monde aspirent à mener des vies heureuses et épanouissantes, à
l’abri de la peur et du besoin, et en harmonie avec la nature.
Pourtant,
pour beaucoup trop de gens vivant dans la misère, un bien-être matériel
élémentaire demeure hors de portée. Pour bien d’autres encore, les
crises socioéconomiques récurrentes, la violence et la criminalité, la
dégradation de l’environnement et les menaces croissantes que font peser
les changements climatiques constituent un danger permanent.
Lors
de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable Rio +20
qui s’est tenue l’an dernier, les États Membres de l’ONU sont convenus
qu’il fallait envisager le développement durable de manière équilibrée,
en prenant en compte ses trois principales composantes, à savoir la
croissance économique, le développement social et la protection de
l’environnement. Ils ont constaté que pour prendre des décisions de
politique générale qui reposent sur des informations plus complètes, ils
devraient adopter des mesures plus larges du progrès, en complément du
produit intérieur brut.
Je juge encourageants les efforts
entrepris par certains gouvernements pour concevoir des politiques
fondées sur des indicateurs complets du bien-être et j’encourage les
autres à suivre leur exemple.
Cette première Journée
internationale du bonheur nous offre l’occasion de renforcer notre
détermination à promouvoir un développement humain durable et sans
exclusive et à renouveler notre promesse d’aider les autres. Lorsque
nous contribuons au bien commun, nous nous enrichissons nous-mêmes. La
compassion apporte le bonheur, et elle nous aidera à façonner l’avenir
que nous voulons."
«Sachant
que la recherche du bonheur est un objectif fondamental de l’être
humain, consciente de l’intérêt que revêtent le bonheur et le bien-être,
objectifs et aspirations à caractère universel dans la vie des êtres
humains partout dans le monde, et ayant à l’esprit qu’il importe de les
prendre en compte dans le programme d’action publique, consciente
également qu’il faut envisager la croissance économique dans une optique
plus large, plus équitable et plus équilibrée, qui favorise le
développement durable, l’élimination de la pauvreté, ainsi que le
bonheur et le bien-être de tous les peuples, [l’Assemblée générale]
décide de proclamer le 20 mars Journée internationale du bonheur » http://www.lesoir.be/210715/article/debats/cartes-blanches/2013-03-19/bonheur-comme-finalite-du-developpement-economique-et-social
LISTE OFFICIELLE DES FETES, JOURNEES MONDIALES ET INTERNATIONALES DE L'AMOUR!
Journée internationale des câlins : 21 Janvier
Journée des compliments : 1er Mars
Journée internationale du bonheur : 20 Mars
Journée mondiale du rire: 1er Dimanche du mois de Mai
Journée internationale du baiser : 6 Juillet
Journée mondiale de l’amitié : 30 Juillet
Fête de la liberté : 20 Septembre
Journée internationale de la gentillesse: 13 Novembre
Il y a près de
vingt ans, juste avant le réveillon de l'an 2000, je me suis dit à peu près les
choses exprimées dans cette vidéo et j'ai fait le choix de tout quitter: Paris,
la ville, un boulot intéressant mais chronophage et je suis partie vivre au bord
de la mer écouter les pulsions de mon cœur, au rythme de la nature.
Il parait que ça
s'appelle la crise du milieu de vie. Une crise n'est-ce pas finalement une
sorte de porte inconfortable entre deux mondes ? Peut-être faut-il du courage
pour oser la franchir. Pas tant que ça en réalité car nous savons tous qu'une
crise, aussi désagréable soit elle, par définition ne dure pas.
Nous changeons
inévitablement et heureusement tout au long de notre vie ce qui nous oblige à
nous réactualiser et à faire évoluer des choix qui ont été justes à un moment
donné mais qui sont peut-être caduques aujourd'hui.
En cette fin
d'année de frénésie d'achats et de ripailles assassines, si nous nous posions
en douceur, juste un instant, pour nous interroger sur notre vie actuelle et
ressentir ce qui peut être mis au goût du jour? Dans tous les domaines de notre
vie et dans les fréquentations que nous nourrissons.
Parce que vivre
vraiment c'est se renouveler sans cesse et c'est tellement excitant!
Je vous souhaite à
tous de traverser le mieux possible la crise des fêtes de fin d'année et de
démarrer plein d'enthousiasme et neufs cette nouvelle année.
Et soudain j'eus envie de retourner à un état le plus naturel possible comme lorsqu'il y a près de trente ans j'avais décidé d'arrêter d'être esclave du tabac. Je m'y étais reprise à trois fois en deux ans, tentant diverses méthodes et fumant de plus en plus : un paquet au premier arrêt, deux au second et trois au troisième mais finalement j'ai gagné cette bataille.
Tout à coup le parallèle avec ma guerre aux kilos me sauta aux yeux. J'ai toujours pensé qu'il est plus facile d'arrêter de fumer que de maigrir durablement parce qu'on ne peut pas faire une croix sur la nourriture et cesser définitivement de manger ! De plus les marchands de nourriture sont partout et légaux.
J'ai fait tous les régimes, les diètes, les jeûnes, lus tous les ouvrages sur le sujet et j'en ai même écrit un "Maigrir en riant" puis j'ai pleuré et repris trop de poids. Comme pour le tabac c'est de pire en pire.
Depuis un an, à la suite d'une longue maladie, j'ai arrêté toute nourriture industrielle et plus mangé que des produits naturels : j'ai pris dix kilos de plus en m'autorisant enfin tous les fruits, frais et secs, et les diverses noix que je m'étais refusés toute ma vie pour cause de sucre.
Puis j'ai lu les dernières études scientifiques montrant que l'épidémie d'obésité a explosé dans le monde depuis l'apparition de tous les produits allégés et disant que l'erreur est de croire que le gras fait grossir alors que c'est le sucre. Et : 80% des produits industriels, même ceux supposés être salés, contiennent du sucre ajouté…
Or si on ne peut vivre sans manger on peut parfaitement vivre sans sucre ajouté.
Et si le sucre était une addiction comme le tabac ou la drogue? Et si la santé passait par le traitement de cette addiction et non par une accumulation de régimes dangereux et inefficaces? Ça valait le coup de tenter l'expérience!
Mais pouvons-nous vivre sans sucre? Qu'en est-il du sucre des fruits?
Je fus assaillie de questions...
Le 15 Août 2017 j'ai décidé de vivre sans sucre ajouté et j'ai découvert que plein de gens avaient franchi le pas depuis quelques années et en étaient ravis !
Ce blog va me permettre à la fois de témoigner au fil de l'aventure et de partager les recherches, les livres, les vidéos et les témoignages sur le sujet afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion. N'hésitez pas à le partager afin que le plus de personnes possible puissent le commenter et laisser leur témoignage si elles ont elles aussi arrêté le sucre (les autres ce n'est pas indispensable de mettre votre grain de sucre, version café du commerce! Haha ! Ce qui est intéressant ce sont les témoignages vécus.)
Si vous hésitez, essayez l'aventure une semaine car nous pouvons vivre sans sucres ajoutés donc vous ne risquez rien! Et non seulement on peut vivre sans sucres ajoutés mais en plus on vit mieux!
JOUR 1 : À PARTIR D'AUJOURD'HUI J'ARRÊTE LE SUCRE.
Parce que je suis droguée au sucre
- Parce que je me sens mal
- Parce qu'il n'est pas indispensable à notre vie
- Parce que de toutes façons je vais en absorber suffisamment dans les légumes
- Parce que j'imagine m'alléger
C'est une prise de décision semblable à celle que j'ai prise il y a près de 30 ans d'arrêter définitivement la cigarette. Je m'y suis prise à 3 fois mais j'ai fini par arrêter définitivement pour une vie sans tabac.
C'est mon deuxième essai pour le sucre et je pense que c'est le bon car j'ai envie d'une vie de plus en plus naturelle et saine. C'est un désir en pleine conscience et en accord avec mes valeurs. Je le rends public pour me motiver. Je vais sans doute faire un blog et y partager les études scientifiques et les expériences sur l'arrêt du sucre que je glanerai.
Si vous aussi vous avez arrêté le sucre merci pour votre témoignage !
JOUR 3 SANS SUCRE.
Lu "Les glucides qui menacent le cerveau", et regardé
sur YouTube quelques vidéos de Thierry Casasnovas. Je me sens pleine
d'énergie aujourd'hui, je n'ai plus aucune fringale, le ventre dégonflé,
les douleurs articulaires divisées par trois, une sensation d'avoir
moins d'inflammation.
Je suis sciée par mon ressenti tellement changé en moins de trois jours!
Pour
info j'ai arrêté le sucre et par voie de conséquence le gluten aussi
d'une manière radicale ces trois premiers jours en ne mangeant que des
protéines (naturelles évidemment pas en sachet !) et je recommence les
jus verts dès demain matin ainsi que les légumes au vitaliseur.
Achhhh
! Je viens de retrouver cette vidéo enregistrée il y a un an où je me
lançais le défi d'arrêter le sucre en 100 Jours. C'était en plein milieu
des vacances et j'ai tenu... 24 heures!
Le
lendemain, au même endroit, j'ai dégusté une glace inoubliable devant
le lac de Constance! Bon, personne n'a dit qu'on est obligés de réussir
du premier coup, après tout je m'y suis prise à trois fois pour le tabac
et je tiens depuis 30 ans ! Donc aujourd'hui, je suis forcément
différente de l'année dernière et ça peut fonctionner! Comme j'ai décidé
d'être totalement transparente, j'assume et je montre cette vidéo!
JOUR 4 : JE ME SENS DE MIEUX EN MIEUX - DÉJÀ !
Ce matin j'ai remis une petite portion de fruits au
petit déjeuner. C'est l'été et ils sont gorgés de sucre ! Et j'ai
retrouvé avec joie les légumes dés midi sachant que j'avais passé trois
jours de protéines pures pour bien faire un break.
Au
4e jour, plus de fatigue, plus de fringales, moins de douleurs et moins 2
kilos (c'est peut-être seulement de l'eau). Je suis ravie. Le plus
agréable est de ne pas avoir faim et de ne plus avoir envie de grignoter
entre les repas.
Aujourd'hui j'ai lu le livre parfait
pour nous aider ! Tout y est : les différents sucres, leurs effets, les
matières grasses, un plan en 3 semaines pour supprimer les sucres
ajoutés et même des recettes qui ont l'air pas mal! Je le conseille
vivement ! "Mon Cahier Stop au sucre", Marie-Laure André, Solar Editions, 2017
Grâce
à ce livre j'ai pu mesurer le formidable chemin déjà parcouru depuis
deux ans lorsque je me suis lancée avec succès dans un Défi des 100
jours "J'arrête la Malbouffe". A mon avis c'est une première étape
indispensable qui permet de se reconnecter à la cuisson des fruits et
légumes, au vitaliseur, à l'extracteur de jus, aux goûts naturels. Une
fois ceci acquis "J'arrête le sucre" est beaucoup plus facile.
Je
ne comprenais pas pourquoi, alors que je vivais si sainement, j'avais
pris 10 kilos de plus. En lisant le cahier, la réponse m'a sauté aux
yeux, ce qui me rend euphorique car du coup j'ai la solution pour les
laisser s'envoler. Mon erreur a été la suivante : pour éradiquer mon
envie permanente de sucre, biscuits, gâteaux et chocolat - que j'ai
totalement cessé de consommer - je me suis autorisée les fruits secs à
volonté (dates, figues, abricots secs etc.), les avocats, les bananes,
les Miams au fruits dans des quantités ahurissantes car évidemment plus
je mangeais de ce sucre naturel (fructose) plus j'avais envie d'en
manger. J'étais tellement contente d'avoir remplacé le malsain par le
sain que je n'ai pas réalisé que j'étais toujours accro au sucre et que
le problème était là ! J'étais dans un cercle vicieux car le fructose
des fruits reste toujours du sucre!
Je ne regrette rien
car maintenant, quand je passe devant une pâtisserie, un rayon de
biscuits ou des viennoiseries, j'ai des nausées et suis devenue
incapable de me remplir de ce sucre là. Par contre les fruits bien
vivants eux me font rêver.
La solution pour moi semble
simple : il me suffit de passer à un fruit frais entier (c'est à dire
pas en jus) par jour et de supprimer tous les fruits secs et les choses
devraient rapidement rentrer dans l'ordre.
Merci au super groupe qui est en train de se constituer sur ma page Facebook et qui va sans doute faire des petits sur Instagram!
Pour
ceux qui hésitent encore : foncez ! Rejoignez-nous : 100% des gens qui
ont réussi à franchir le cap sont satisfaits. C'est un retour à notre
état naturel d'êtres humains et un rejet de la nourriture industrielle
toxique. Reprenons le pouvoir sur nos vies ! Haha ! Car soyons clairs,
arrêter le sucre signifie en tout premier arrêter la nourriture
industrielle qui comporte à 80% des sucres ajoutés les plus malsains qui
soient, même dans les plats salés!
JOUR 5 : QUEL "NO-SUGAR" ÊTES-VOUS?
Quel horreur ! Sous prétexte que je décide de manger
plus sainement, je me fais rapidement sermonner sous prétexte que
supprimer le sucre ajouté serait très dangereux car assimilé à un régime
à la mode de plus qui, - et je partage totalement cet avis sur les
régimes- ne fonctionnerait pas plus que les autres et engendrerait une
reprise de poids supérieure à la perte aussitôt après l'arrêt des bonnes
intentions.
Supprimer les sucres ajoutés et la
nourriture industrielle est pour moi une reprise en main de ce qui me
nourrit, une pleine conscience de ce que je mange et du coup cuisine
moi-même, une responsabilisation, un progrès, une étape vers un
mieux-être et non un coup de tête momentané. Je réalise d'ailleurs que
j'ai démarré il y a déjà deux ans en disant halte à la nourriture
industrielle et que la diminution voir la suppression de l'inutile et
toxique sucre ajouté est juste une évolution logique de cette évolution
de santé;
Mais alors me voilà aussitôt cataloguée
"No-Sugar", la nouvelle religion du bien-être. Et je découvre qu'elle a
ses courants : les "flexi- no sugar", les "slow sugar", les "no sugar
soft" et les "no-sugar harcore" ! Et je suis priée de préciser ce que je
supprime et ce que je garde pour savoir à quel courant exact
j'appartiens! Manque de bol, je déteste les étiquettes et j'adore avoir
la liberté de changer d'avis. Donc, a priori, je ne peux adhérer qu'au
courant qui affiche clairement sa flexibilité ! Je ne suis pas un
numéro, je suis une "sugar-libre"!
De toutes façons,
pour l'instant, au 5e jour seulement , je tâtonne encore. Pour
l'instant, je vais supprimer tout le sucre ajouté et limiter les fruits
et les glucides complexes (riz, pain, pâtes, pommes de terre,
légumineuses...) et bien sûr éviter autant que possible les plats
industriels.
Mais
comme je ne suis absolument pas intégriste, à part pendant les 3 mois
de lancement de ce qui est pour moi un défi ludique, ensuite
j'adopterai cette saine attitude 80% du temps. Et ça c'est
vraiment important ! Ça veut dire que j'essayerai de maintenir cette
conduite le plus possible chez moi mais que je savourerai les repas
entre amis sans rien calculer et m'autoriserai aussi un carré de
chocolat lors des moments de blues. Je ne suis pas rigologue pour rien :
le plaisir est sacré pour moi !
Et
d'ailleurs c'est par pur plaisir devant l'énergie retrouvée que je me
lance ce défi de trois mois "Moins de sucre" (et non pas zéro sucre!).
J'espère et je crois fermement qu'ensuite de nouvelles habitudes plus
saines resteront.
JOUR 8 SANS SUCRE
C'est
curieux pour moi, je vous l'assure, mais au bout d'une semaine sans
sucre, je me sens... normale! C'est-à-dire absolument pas "comme
d'habitude". Non "normale" comme je le fantasme (oui on a les fantasmes
qu'on peut ! 😜 Quand on vit dans la démesure on peut fantasmer d'être
juste "normale" une heure seulement, lalalala !)
C'est à
dire que je n'ai plus aucune fringale, compulsion au sucre, obsession
pour la nourriture, besoin fréquent de me remplir, peur de manquer,
d'avoir faim, d'être faible et j'en passe.
Je mange des
fruits le matin et j'oublie la nourriture jusqu'au déjeuner où je mange
des crudités, des protéines et des légumes variés. Je n'ai plus faim
avant la fin de l'assiette donc j'en reste là. Vers 18h j'ai un creux et
je prends un deuxième fruit et le soir idem déjeuner.
Je
commence à mieux dormir, plus profondément et plus longtemps. Je me
lève moins la nuit. Je suis sereine et en paix le matin et le reste de
la journée.
Bref je mange pour me sentir bien et avec
les autres. Ce week-end je me suis autorisée quelques canapés lors d'un
apéritif avec des amis et un coup de la cuvée Ancestrale de Muscat de
Frontignan dont je suis dingue.
Comme je n'ai pas de
balance à la plage j'ignore ce qu'il se passe pour l'instant de ce côté
mais tout fonctionne et j'ai le ventre dégonflé.
Conclusion de la première semaine :
-
Il m'a fallu 3 jours pour me mettre dans le bain après un sevrage
énergique protéines seules pour bien me couper du sucre (j'ai trouvé ça
désagréable)
- Mais depuis, du coup, les légumes et les fruits ont le charme qu'avaient les pâtisseries avant!
-
C'est facile pour moi: je ne ressens absolument aucune frustration
puisqu'il y a même un oubli total de la nourriture entre les repas.
-
Je me dis que je vais sans doute réintégrer à un moment les féculents
mais franchement pour l'instant je n'en éprouve pas le besoin!
Et vous où en êtes-vous ?
Véronique Coquillat Sophrologue a créé pour vous un compte Instagram : "Je mange sans sucre". On s'y retrouve ?
Bonne semaine à vous !
JOUR 10 VITESSE DE CROISIÈRE
L'alimentation
sans sucre devient naturelle pour moi, finir le repas après le plat
principal, ne plus avoir de fringales entre les repas devient apaisant
et "normal". La balance annonce moins trois kilos. Chouette ! J'ai
retrouvé la vidéo de mon bilan des 100 jours de l'arrêt de la malbouffe
que je vous poste ci-dessous et je comprends deux choses :
-
Le plus difficile dans l'arrêt du sucre c'est tout d'abord l'arrêt de
la nourriture industrielle qui est vraiment une révolution dans la vie
-
C'est normal que j'ai grossi après cet arrêt car je me suis tout à coup
autorisé 3 fruits frais par jour, plus des fruits secs à volonté, plus
du chocolat noir à 70%. Oui c'est sain mais c'est bourré de sucre!
Résultat j'ai pris dix kilos en deux ans.
En ajoutant l'arrêt du sucre à la nourriture saine je crois fermement que je vais très doucement m'affiner. A suivre !
JOUR 21 LE PLI EST PRIS
Témoignage en vidéo de la sérénité ressentie.
JOUR 25 Aaaaach J'ai craqué !
Trop
drôle! Samedi soir nous invitons des amis et décidons que le dessert
sera une délicieuse salade de fruits maison sans sucre, des petites
glaces individuelles (comme ça nous n'en prenons pas) et tout de même
quelques macarons que l'on cache afin de ne pas succomber à la tentation
avant l'arrivée des invités. Aucun craquage pendant la soirée qui se
poursuit très joyeusement tard dans la nuit à part champagne et vins
mais ça c'était prévu et assumé.
Le lendemain on range
et on retrouve les macarons si bien cachés qu'on a oublié de les offrir!
Et là on en goûte un, puis deux, puis le sucre appelant le sucre tous
les macarons y passent! Oh la la! Aussitôt je suis écrasée de fatigue et
fais une sieste qui va durer presque tout le dimanche! Au réveil des
douleurs articulaires partout et le moral dans les chaussettes.
Le
surlendemain, je favorise les jus de légumes, les crudités et les
légumes cuits. En 24 h tout rentre dans l'ordre mais la balance
m'annonce que j'ai repris un kilo dans l'aventure macaronnesque!
Dommage! Je pensais célébrer une perte de 5 kilos en un mois d’arrêt du
sucre et c'est raté. Pas grave car l'essentiel est ailleurs il me
semble. J'ai vraiment vécu à quel point je me sentais instantanément mal
en remangeant du sucre au bout de près de 4 semaines.
Je
sais que ça m'arrivera de nouveau et c'est très bien. Le sucre fait
partie de la vie et ça vaut le coup de succomber en conscience quand on
est face à un exceptionnel gâteau. Je n'ai pas l'intention de renoncer
au sucre à vie mais je sais que je le payerai avec des lourdeurs, des
douleurs aussi, un roupillon et un bon coup de déprime. A moi de peser
le pour et le contre à chaque tentation. Exceptionnellement ça vaut le
coup ! On ne vit sans doute qu'une fois!
1 MOIS SANS SUCRE
Sans
"l'Affaire macarons" de la semaine dernière j'aurais sans doute
triomphé avec une perte de cinq kilos de gras en un mois dans le
plaisir. Je me suis tout de même allégée de quatre kilos et demi sans
aucun régime ni privation puisque j'ai mangé à volonté ce que je voulais
de non raffiné et sans sucre ajouté. Je voulais même me contenter d'un
fruit par jour mais en cette fin d'été j'ai allègrement dépassé les
trois portions de fruits juteux (et très sucrés) par jour.
J'ai beaucoup moins mangé surtout car sans sucre j'avais beaucoup moins faim.
J'ai
gardé un peu de fromage (normal pas "allégé", berk) mais je n'ai pas eu
envie de laitages, ni de yaourts. Nous avons mangé quasiment pas de
féculents et pas du tout de pommes de terre et avec les frimas qui
reviennent je commence à avoir envie de pommes de terre car j'adore ça
sous toutes les formes.
Nous avons pris des jus de
légumes verts tous les matins et mangé des poissons pêchés du jour, des
viandes bio du coin et des tonnes de légumes crus et cuits locaux et
bio.
L'heure des soupes a sonné et j'en suis ravie. Je
ne pense malheureusement pas continuer à m'alléger autant le mois
prochain mais si mes douleurs continuent à diminuer et que me sens aussi
bien c'est déjà génial.
En projet dans un mois pile : un jeûne de huit jours accompagné. Je vous en reparlerai!
Bonne
continuation à vous. Si vous avez lâché, ce n'est pas grave. C'est que
c'était juste pour vous à ce moment-là. Mais n'hésitez pas, quand ce
sera le moment pour vous, à repartir dans cette vigilance "sans sucre
ajouté" et avec le minimum de produits industriels car vous serez
contents de vous et en pleine forme!
3 MOIS SANS SUCRE
L'arrêt du sucre a changé ma vie !
Ah! Si j'avais su plus tôt qu'il me suffisait d'arrêter le sucre (ajouté, contenu dans les plats industriels, les sodas, etc....) pour changer ma vie et venir à bout de tous mes problèmes physiques :
- Obésité
- Dérèglements fonctionnels, excès de cholestérol, limite diabète, hypertension artérielle,
- Fringales, grignotages et appétit excessif,
- Obsession de la nourriture, peur permanente de manquer et d'avoir faim,
- Coups de pompes,
- Fatigue, déprime, perte de motivation, accablement, insomnies,
- Douleurs diffuses dans le corps, raideurs, tendinites,
Mon témoignage au bout de 3 mois sans sucre :
1 AN SANS SUCRE
Au bout d'un an sans sucre, je reprends pendant 15 jours et voici ce qui arrive :
L'industrie du sucre américain sait depuis 1967 qu'il y a un lien entre l’absorption de sucre et la dégradation de notre santé (cancers et maladies cardiovasculaires). Article en anglais