Lieu d'échanges et de partages des sciences du bonheur : psychologie positive, rigologie, méditation, sophrologie ludique, joie de vivre, yoga du rire...
Il y a près de
vingt ans, juste avant le réveillon de l'an 2000, je me suis dit à peu près les
choses exprimées dans cette vidéo et j'ai fait le choix de tout quitter: Paris,
la ville, un boulot intéressant mais chronophage et je suis partie vivre au bord
de la mer écouter les pulsions de mon cœur, au rythme de la nature.
Il parait que ça
s'appelle la crise du milieu de vie. Une crise n'est-ce pas finalement une
sorte de porte inconfortable entre deux mondes ? Peut-être faut-il du courage
pour oser la franchir. Pas tant que ça en réalité car nous savons tous qu'une
crise, aussi désagréable soit elle, par définition ne dure pas.
Nous changeons
inévitablement et heureusement tout au long de notre vie ce qui nous oblige à
nous réactualiser et à faire évoluer des choix qui ont été justes à un moment
donné mais qui sont peut-être caduques aujourd'hui.
En cette fin
d'année de frénésie d'achats et de ripailles assassines, si nous nous posions
en douceur, juste un instant, pour nous interroger sur notre vie actuelle et
ressentir ce qui peut être mis au goût du jour? Dans tous les domaines de notre
vie et dans les fréquentations que nous nourrissons.
Parce que vivre
vraiment c'est se renouveler sans cesse et c'est tellement excitant!
Je vous souhaite à
tous de traverser le mieux possible la crise des fêtes de fin d'année et de
démarrer plein d'enthousiasme et neufs cette nouvelle année.
Et soudain j'eus envie de retourner à un état le plus naturel possible comme lorsqu'il y a près de trente ans j'avais décidé d'arrêter d'être esclave du tabac. Je m'y étais reprise à trois fois en deux ans, tentant diverses méthodes et fumant de plus en plus : un paquet au premier arrêt, deux au second et trois au troisième mais finalement j'ai gagné cette bataille.
Tout à coup le parallèle avec ma guerre aux kilos me sauta aux yeux. J'ai toujours pensé qu'il est plus facile d'arrêter de fumer que de maigrir durablement parce qu'on ne peut pas faire une croix sur la nourriture et cesser définitivement de manger ! De plus les marchands de nourriture sont partout et légaux.
J'ai fait tous les régimes, les diètes, les jeûnes, lus tous les ouvrages sur le sujet et j'en ai même écrit un "Maigrir en riant" puis j'ai pleuré et repris trop de poids. Comme pour le tabac c'est de pire en pire.
Depuis un an, à la suite d'une longue maladie, j'ai arrêté toute nourriture industrielle et plus mangé que des produits naturels : j'ai pris dix kilos de plus en m'autorisant enfin tous les fruits, frais et secs, et les diverses noix que je m'étais refusés toute ma vie pour cause de sucre.
Puis j'ai lu les dernières études scientifiques montrant que l'épidémie d'obésité a explosé dans le monde depuis l'apparition de tous les produits allégés et disant que l'erreur est de croire que le gras fait grossir alors que c'est le sucre. Et : 80% des produits industriels, même ceux supposés être salés, contiennent du sucre ajouté…
Or si on ne peut vivre sans manger on peut parfaitement vivre sans sucre ajouté.
Et si le sucre était une addiction comme le tabac ou la drogue? Et si la santé passait par le traitement de cette addiction et non par une accumulation de régimes dangereux et inefficaces? Ça valait le coup de tenter l'expérience!
Mais pouvons-nous vivre sans sucre? Qu'en est-il du sucre des fruits?
Je fus assaillie de questions...
Le 15 Août 2017 j'ai décidé de vivre sans sucre ajouté et j'ai découvert que plein de gens avaient franchi le pas depuis quelques années et en étaient ravis !
Ce blog va me permettre à la fois de témoigner au fil de l'aventure et de partager les recherches, les livres, les vidéos et les témoignages sur le sujet afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion. N'hésitez pas à le partager afin que le plus de personnes possible puissent le commenter et laisser leur témoignage si elles ont elles aussi arrêté le sucre (les autres ce n'est pas indispensable de mettre votre grain de sucre, version café du commerce! Haha ! Ce qui est intéressant ce sont les témoignages vécus.)
Si vous hésitez, essayez l'aventure une semaine car nous pouvons vivre sans sucres ajoutés donc vous ne risquez rien! Et non seulement on peut vivre sans sucres ajoutés mais en plus on vit mieux!
JOUR 1 : À PARTIR D'AUJOURD'HUI J'ARRÊTE LE SUCRE.
Parce que je suis droguée au sucre
- Parce que je me sens mal
- Parce qu'il n'est pas indispensable à notre vie
- Parce que de toutes façons je vais en absorber suffisamment dans les légumes
- Parce que j'imagine m'alléger
C'est une prise de décision semblable à celle que j'ai prise il y a près de 30 ans d'arrêter définitivement la cigarette. Je m'y suis prise à 3 fois mais j'ai fini par arrêter définitivement pour une vie sans tabac.
C'est mon deuxième essai pour le sucre et je pense que c'est le bon car j'ai envie d'une vie de plus en plus naturelle et saine. C'est un désir en pleine conscience et en accord avec mes valeurs. Je le rends public pour me motiver. Je vais sans doute faire un blog et y partager les études scientifiques et les expériences sur l'arrêt du sucre que je glanerai.
Si vous aussi vous avez arrêté le sucre merci pour votre témoignage !
JOUR 3 SANS SUCRE.
Lu "Les glucides qui menacent le cerveau", et regardé
sur YouTube quelques vidéos de Thierry Casasnovas. Je me sens pleine
d'énergie aujourd'hui, je n'ai plus aucune fringale, le ventre dégonflé,
les douleurs articulaires divisées par trois, une sensation d'avoir
moins d'inflammation.
Je suis sciée par mon ressenti tellement changé en moins de trois jours!
Pour
info j'ai arrêté le sucre et par voie de conséquence le gluten aussi
d'une manière radicale ces trois premiers jours en ne mangeant que des
protéines (naturelles évidemment pas en sachet !) et je recommence les
jus verts dès demain matin ainsi que les légumes au vitaliseur.
Achhhh
! Je viens de retrouver cette vidéo enregistrée il y a un an où je me
lançais le défi d'arrêter le sucre en 100 Jours. C'était en plein milieu
des vacances et j'ai tenu... 24 heures!
Le
lendemain, au même endroit, j'ai dégusté une glace inoubliable devant
le lac de Constance! Bon, personne n'a dit qu'on est obligés de réussir
du premier coup, après tout je m'y suis prise à trois fois pour le tabac
et je tiens depuis 30 ans ! Donc aujourd'hui, je suis forcément
différente de l'année dernière et ça peut fonctionner! Comme j'ai décidé
d'être totalement transparente, j'assume et je montre cette vidéo!
JOUR 4 : JE ME SENS DE MIEUX EN MIEUX - DÉJÀ !
Ce matin j'ai remis une petite portion de fruits au
petit déjeuner. C'est l'été et ils sont gorgés de sucre ! Et j'ai
retrouvé avec joie les légumes dés midi sachant que j'avais passé trois
jours de protéines pures pour bien faire un break.
Au
4e jour, plus de fatigue, plus de fringales, moins de douleurs et moins 2
kilos (c'est peut-être seulement de l'eau). Je suis ravie. Le plus
agréable est de ne pas avoir faim et de ne plus avoir envie de grignoter
entre les repas.
Aujourd'hui j'ai lu le livre parfait
pour nous aider ! Tout y est : les différents sucres, leurs effets, les
matières grasses, un plan en 3 semaines pour supprimer les sucres
ajoutés et même des recettes qui ont l'air pas mal! Je le conseille
vivement ! "Mon Cahier Stop au sucre", Marie-Laure André, Solar Editions, 2017
Grâce
à ce livre j'ai pu mesurer le formidable chemin déjà parcouru depuis
deux ans lorsque je me suis lancée avec succès dans un Défi des 100
jours "J'arrête la Malbouffe". A mon avis c'est une première étape
indispensable qui permet de se reconnecter à la cuisson des fruits et
légumes, au vitaliseur, à l'extracteur de jus, aux goûts naturels. Une
fois ceci acquis "J'arrête le sucre" est beaucoup plus facile.
Je
ne comprenais pas pourquoi, alors que je vivais si sainement, j'avais
pris 10 kilos de plus. En lisant le cahier, la réponse m'a sauté aux
yeux, ce qui me rend euphorique car du coup j'ai la solution pour les
laisser s'envoler. Mon erreur a été la suivante : pour éradiquer mon
envie permanente de sucre, biscuits, gâteaux et chocolat - que j'ai
totalement cessé de consommer - je me suis autorisée les fruits secs à
volonté (dates, figues, abricots secs etc.), les avocats, les bananes,
les Miams au fruits dans des quantités ahurissantes car évidemment plus
je mangeais de ce sucre naturel (fructose) plus j'avais envie d'en
manger. J'étais tellement contente d'avoir remplacé le malsain par le
sain que je n'ai pas réalisé que j'étais toujours accro au sucre et que
le problème était là ! J'étais dans un cercle vicieux car le fructose
des fruits reste toujours du sucre!
Je ne regrette rien
car maintenant, quand je passe devant une pâtisserie, un rayon de
biscuits ou des viennoiseries, j'ai des nausées et suis devenue
incapable de me remplir de ce sucre là. Par contre les fruits bien
vivants eux me font rêver.
La solution pour moi semble
simple : il me suffit de passer à un fruit frais entier (c'est à dire
pas en jus) par jour et de supprimer tous les fruits secs et les choses
devraient rapidement rentrer dans l'ordre.
Merci au super groupe qui est en train de se constituer sur ma page Facebook et qui va sans doute faire des petits sur Instagram!
Pour
ceux qui hésitent encore : foncez ! Rejoignez-nous : 100% des gens qui
ont réussi à franchir le cap sont satisfaits. C'est un retour à notre
état naturel d'êtres humains et un rejet de la nourriture industrielle
toxique. Reprenons le pouvoir sur nos vies ! Haha ! Car soyons clairs,
arrêter le sucre signifie en tout premier arrêter la nourriture
industrielle qui comporte à 80% des sucres ajoutés les plus malsains qui
soient, même dans les plats salés!
JOUR 5 : QUEL "NO-SUGAR" ÊTES-VOUS?
Quel horreur ! Sous prétexte que je décide de manger
plus sainement, je me fais rapidement sermonner sous prétexte que
supprimer le sucre ajouté serait très dangereux car assimilé à un régime
à la mode de plus qui, - et je partage totalement cet avis sur les
régimes- ne fonctionnerait pas plus que les autres et engendrerait une
reprise de poids supérieure à la perte aussitôt après l'arrêt des bonnes
intentions.
Supprimer les sucres ajoutés et la
nourriture industrielle est pour moi une reprise en main de ce qui me
nourrit, une pleine conscience de ce que je mange et du coup cuisine
moi-même, une responsabilisation, un progrès, une étape vers un
mieux-être et non un coup de tête momentané. Je réalise d'ailleurs que
j'ai démarré il y a déjà deux ans en disant halte à la nourriture
industrielle et que la diminution voir la suppression de l'inutile et
toxique sucre ajouté est juste une évolution logique de cette évolution
de santé;
Mais alors me voilà aussitôt cataloguée
"No-Sugar", la nouvelle religion du bien-être. Et je découvre qu'elle a
ses courants : les "flexi- no sugar", les "slow sugar", les "no sugar
soft" et les "no-sugar harcore" ! Et je suis priée de préciser ce que je
supprime et ce que je garde pour savoir à quel courant exact
j'appartiens! Manque de bol, je déteste les étiquettes et j'adore avoir
la liberté de changer d'avis. Donc, a priori, je ne peux adhérer qu'au
courant qui affiche clairement sa flexibilité ! Je ne suis pas un
numéro, je suis une "sugar-libre"!
De toutes façons,
pour l'instant, au 5e jour seulement , je tâtonne encore. Pour
l'instant, je vais supprimer tout le sucre ajouté et limiter les fruits
et les glucides complexes (riz, pain, pâtes, pommes de terre,
légumineuses...) et bien sûr éviter autant que possible les plats
industriels.
Mais
comme je ne suis absolument pas intégriste, à part pendant les 3 mois
de lancement de ce qui est pour moi un défi ludique, ensuite
j'adopterai cette saine attitude 80% du temps. Et ça c'est
vraiment important ! Ça veut dire que j'essayerai de maintenir cette
conduite le plus possible chez moi mais que je savourerai les repas
entre amis sans rien calculer et m'autoriserai aussi un carré de
chocolat lors des moments de blues. Je ne suis pas rigologue pour rien :
le plaisir est sacré pour moi !
Et
d'ailleurs c'est par pur plaisir devant l'énergie retrouvée que je me
lance ce défi de trois mois "Moins de sucre" (et non pas zéro sucre!).
J'espère et je crois fermement qu'ensuite de nouvelles habitudes plus
saines resteront.
JOUR 8 SANS SUCRE
C'est
curieux pour moi, je vous l'assure, mais au bout d'une semaine sans
sucre, je me sens... normale! C'est-à-dire absolument pas "comme
d'habitude". Non "normale" comme je le fantasme (oui on a les fantasmes
qu'on peut ! 😜 Quand on vit dans la démesure on peut fantasmer d'être
juste "normale" une heure seulement, lalalala !)
C'est à
dire que je n'ai plus aucune fringale, compulsion au sucre, obsession
pour la nourriture, besoin fréquent de me remplir, peur de manquer,
d'avoir faim, d'être faible et j'en passe.
Je mange des
fruits le matin et j'oublie la nourriture jusqu'au déjeuner où je mange
des crudités, des protéines et des légumes variés. Je n'ai plus faim
avant la fin de l'assiette donc j'en reste là. Vers 18h j'ai un creux et
je prends un deuxième fruit et le soir idem déjeuner.
Je
commence à mieux dormir, plus profondément et plus longtemps. Je me
lève moins la nuit. Je suis sereine et en paix le matin et le reste de
la journée.
Bref je mange pour me sentir bien et avec
les autres. Ce week-end je me suis autorisée quelques canapés lors d'un
apéritif avec des amis et un coup de la cuvée Ancestrale de Muscat de
Frontignan dont je suis dingue.
Comme je n'ai pas de
balance à la plage j'ignore ce qu'il se passe pour l'instant de ce côté
mais tout fonctionne et j'ai le ventre dégonflé.
Conclusion de la première semaine :
-
Il m'a fallu 3 jours pour me mettre dans le bain après un sevrage
énergique protéines seules pour bien me couper du sucre (j'ai trouvé ça
désagréable)
- Mais depuis, du coup, les légumes et les fruits ont le charme qu'avaient les pâtisseries avant!
-
C'est facile pour moi: je ne ressens absolument aucune frustration
puisqu'il y a même un oubli total de la nourriture entre les repas.
-
Je me dis que je vais sans doute réintégrer à un moment les féculents
mais franchement pour l'instant je n'en éprouve pas le besoin!
Et vous où en êtes-vous ?
Véronique Coquillat Sophrologue a créé pour vous un compte Instagram : "Je mange sans sucre". On s'y retrouve ?
Bonne semaine à vous !
JOUR 10 VITESSE DE CROISIÈRE
L'alimentation
sans sucre devient naturelle pour moi, finir le repas après le plat
principal, ne plus avoir de fringales entre les repas devient apaisant
et "normal". La balance annonce moins trois kilos. Chouette ! J'ai
retrouvé la vidéo de mon bilan des 100 jours de l'arrêt de la malbouffe
que je vous poste ci-dessous et je comprends deux choses :
-
Le plus difficile dans l'arrêt du sucre c'est tout d'abord l'arrêt de
la nourriture industrielle qui est vraiment une révolution dans la vie
-
C'est normal que j'ai grossi après cet arrêt car je me suis tout à coup
autorisé 3 fruits frais par jour, plus des fruits secs à volonté, plus
du chocolat noir à 70%. Oui c'est sain mais c'est bourré de sucre!
Résultat j'ai pris dix kilos en deux ans.
En ajoutant l'arrêt du sucre à la nourriture saine je crois fermement que je vais très doucement m'affiner. A suivre !
JOUR 21 LE PLI EST PRIS
Témoignage en vidéo de la sérénité ressentie.
JOUR 25 Aaaaach J'ai craqué !
Trop
drôle! Samedi soir nous invitons des amis et décidons que le dessert
sera une délicieuse salade de fruits maison sans sucre, des petites
glaces individuelles (comme ça nous n'en prenons pas) et tout de même
quelques macarons que l'on cache afin de ne pas succomber à la tentation
avant l'arrivée des invités. Aucun craquage pendant la soirée qui se
poursuit très joyeusement tard dans la nuit à part champagne et vins
mais ça c'était prévu et assumé.
Le lendemain on range
et on retrouve les macarons si bien cachés qu'on a oublié de les offrir!
Et là on en goûte un, puis deux, puis le sucre appelant le sucre tous
les macarons y passent! Oh la la! Aussitôt je suis écrasée de fatigue et
fais une sieste qui va durer presque tout le dimanche! Au réveil des
douleurs articulaires partout et le moral dans les chaussettes.
Le
surlendemain, je favorise les jus de légumes, les crudités et les
légumes cuits. En 24 h tout rentre dans l'ordre mais la balance
m'annonce que j'ai repris un kilo dans l'aventure macaronnesque!
Dommage! Je pensais célébrer une perte de 5 kilos en un mois d’arrêt du
sucre et c'est raté. Pas grave car l'essentiel est ailleurs il me
semble. J'ai vraiment vécu à quel point je me sentais instantanément mal
en remangeant du sucre au bout de près de 4 semaines.
Je
sais que ça m'arrivera de nouveau et c'est très bien. Le sucre fait
partie de la vie et ça vaut le coup de succomber en conscience quand on
est face à un exceptionnel gâteau. Je n'ai pas l'intention de renoncer
au sucre à vie mais je sais que je le payerai avec des lourdeurs, des
douleurs aussi, un roupillon et un bon coup de déprime. A moi de peser
le pour et le contre à chaque tentation. Exceptionnellement ça vaut le
coup ! On ne vit sans doute qu'une fois!
1 MOIS SANS SUCRE
Sans
"l'Affaire macarons" de la semaine dernière j'aurais sans doute
triomphé avec une perte de cinq kilos de gras en un mois dans le
plaisir. Je me suis tout de même allégée de quatre kilos et demi sans
aucun régime ni privation puisque j'ai mangé à volonté ce que je voulais
de non raffiné et sans sucre ajouté. Je voulais même me contenter d'un
fruit par jour mais en cette fin d'été j'ai allègrement dépassé les
trois portions de fruits juteux (et très sucrés) par jour.
J'ai beaucoup moins mangé surtout car sans sucre j'avais beaucoup moins faim.
J'ai
gardé un peu de fromage (normal pas "allégé", berk) mais je n'ai pas eu
envie de laitages, ni de yaourts. Nous avons mangé quasiment pas de
féculents et pas du tout de pommes de terre et avec les frimas qui
reviennent je commence à avoir envie de pommes de terre car j'adore ça
sous toutes les formes.
Nous avons pris des jus de
légumes verts tous les matins et mangé des poissons pêchés du jour, des
viandes bio du coin et des tonnes de légumes crus et cuits locaux et
bio.
L'heure des soupes a sonné et j'en suis ravie. Je
ne pense malheureusement pas continuer à m'alléger autant le mois
prochain mais si mes douleurs continuent à diminuer et que me sens aussi
bien c'est déjà génial.
En projet dans un mois pile : un jeûne de huit jours accompagné. Je vous en reparlerai!
Bonne
continuation à vous. Si vous avez lâché, ce n'est pas grave. C'est que
c'était juste pour vous à ce moment-là. Mais n'hésitez pas, quand ce
sera le moment pour vous, à repartir dans cette vigilance "sans sucre
ajouté" et avec le minimum de produits industriels car vous serez
contents de vous et en pleine forme!
3 MOIS SANS SUCRE
L'arrêt du sucre a changé ma vie !
Ah! Si j'avais su plus tôt qu'il me suffisait d'arrêter le sucre (ajouté, contenu dans les plats industriels, les sodas, etc....) pour changer ma vie et venir à bout de tous mes problèmes physiques :
- Obésité
- Dérèglements fonctionnels, excès de cholestérol, limite diabète, hypertension artérielle,
- Fringales, grignotages et appétit excessif,
- Obsession de la nourriture, peur permanente de manquer et d'avoir faim,
- Coups de pompes,
- Fatigue, déprime, perte de motivation, accablement, insomnies,
- Douleurs diffuses dans le corps, raideurs, tendinites,
Mon témoignage au bout de 3 mois sans sucre :
1 AN SANS SUCRE
Au bout d'un an sans sucre, je reprends pendant 15 jours et voici ce qui arrive :
L'industrie du sucre américain sait depuis 1967 qu'il y a un lien entre l’absorption de sucre et la dégradation de notre santé (cancers et maladies cardiovasculaires). Article en anglais
"Il faut soigner ses petits maux par le jeûne
plutôt qu’en
recourant aux médicaments."
Hippocrate
Le jeûne fait partie de
l'histoire de l'humanité et est préconisé par la plupart des religions. L'être
humain, tout comme les animaux, est constitué pour survivre au manque de nourriture
ce qui signifie que notre organisme est beaucoup plus adapté à la
sous-alimentation occasionnelle qu'à la suralimentation permanente. Cela fait
200 000 ans que les Homo Sapiens survivent aux disettes et seulement une
centaine d'années que nous explosons de trop manger et mourrons de nos excès :
maladies cardiovasculaires, épidémie d'obésité, diabète, cholestérol, maladies
auto-immunes, Alzheimer, Parkinson, cancer, etc. Pour la première fois de l'histoire de l'humanité
la malbouffe réussit le triste exploit de raccourcir l'espérance de vie de nos
enfants!
ET SI LE JEÛNE ÉTAIT LA SOLUTION NOUS PERMETTANT DE RÉÉQUILIBRER NOS MOMENTS D'ÉGAREMENTS FESTIFS?
Car nous ne sommes pas plus
fait pour nous priver que pour nous goinfrer en permanence. Nous sommes faits
pour ressentir nos besoins et nous adapter au fil des jours à ce que la vie nous
offre.
Le jeûne thérapeutique est
habituel en Russie et en Allemagne où il est préconisé par les médecins et pris
en charge par les assurances maladie. Ce n'est pas encore le cas en France.
Cet article n'a pour objectif que de vous faire découvrir
le jeûne à travers le journal vidéo que j'ai tenu pendant mes dix jours de jeûne
purement hydrique (c'est-à-dire où je n'ai bu que de l'eau).
Vous trouverez en bas de page des ressources pour vous
documenter si le sujet vous intéresse.
J'INSISTE SUR LES
POINTS SUIVANTS :
-Ceci n'est que mon témoignage. Il a pour but
d'encourager ceux qui sont tentés et qui se disent qu'ils n'y arriveront
jamais. Si j'ai pu, vous pouvez aussi !
-Si vous êtes souffrant, faites-vous suivre par
un médecin durant le jeûne. Il existe des cliniques du jeûne en Allemagne (pas
encore en France).
-Pour un premier jeûne, je vous conseille
vivement de vous faire accompagner car un groupe de jeûneurs encadré est très
soutenant. Choisissez un organisme qui fait une enquête approfondie sur votre
état de santé avant de vous inscrire.
-Si vous prévoyez de jeûner une semaine, vous
devez bloquer dans votre agenda 3 semaines : une pour la descente alimentaire avant
le jeûne, une pour le jeûne et une pour la reprise alimentaire après le jeûne.
-Vous pouvez commencer par des jeûnes de 16h,
puis un jeûne de trois jours chez vous avant de vous lancer dans une semaine
complète ou plus. Et puis pas de panique ! Si vous craquez vous mangerez c'est
tout! Et sachez que c'est rarissime dans les groupes de jeûneurs.
QU'EST-CE QUI M'A
POUSSÉE À JEÛNER?
Après six fausses couches et
deux magnifiques enfants j'ai pris et reperdu plusieurs dizaines de kilos et
donc expérimenté à peu près tous les régimes. J'ai même écrit "Maigrir en
riant" qui propose une manière de vivre pour s'alléger mais sans aucun
conseil alimentaire.
En 2015, je suis tombée
gravement malade puis j'ai été paralysée, hospitalisée et alitée pendant près
d'un an. Quand je me suis relevée j'ai décidé d'arrêter la malbouffe et de ne
plus manger que bio. Cette fois, j'ai expérimenté toutes les tendances
naturopathes : végétarienne, Paléo, sans gluten, sans lait, avec Miam et
graines de toutes sortes. Résultat des courses j'ai réussi à prendre encore dix
kilos de plus!
Je n'ai pas trop réalisé les dégâts
avant de me découvrir sur internet dans une vidéo de formation : je suis restée
sans voix devant mes mentons tombant sur mes ventres le tout masquant mes
pieds. Alors, le 15 Août 2017, j'ai décidé d'arrêter le sucre. C'est à peu près
le seul essai que je n'avais pas encore fait. J'avais lu les études montrant
que les rats étaient encore plus accro au sucre qu'à la cocaïne : ça ne pouvait
donc pas me faire de mal d'arrêter.
L'arrêt du sucre a été
spectaculaire car en moins de trois jours il m'a ôté définitivement toute envie
de grignoter. En arrêtant le sucre j'ai donc arrêté aussi de grignoter alors
que je n'avais pas spécialement prévu de le faire! Et cela a changé ma vie.
Au bout d'un mois, sans aucun
effort, je m'étais allégée de 6 kilos et je décidais de refaire un jeûne. J'en avais
fait un juste après avoir été malade pour évacuer les toxines des médicaments.
C'était un jeûne de six jours avec jus de fruits le matin et bouillons le soir.
Cette fois j'ai décidé de faire un jeûne deux fois plus long où je serai en
partie seulement accompagnée : 10 jours de jeûne hydrique suivi de deux jours
de jeûne avec jus de légumes. Je suis partie une semaine dans un groupe "Jeûne,
méditation et amincissement" afin d'inscrire ce jeûne dans un programme
plus global de compréhension de la naturopathie. Car ce jeûne est un point de
départ vers une nouvelle vie saine et pas juste une aventure en passant.
Au moment où j'écris, j'ignore
encore ce que me réservent les mois à venir. Maintenant, après ce jeûne, deux
mois seulement après avoir arrêté le sucre, je me suis délestée d'une douzaine
de kilos.
J'ai surtout modifié mes
croyances sur ma vitalité et mon côté bon vivant que je suis aujourd'hui prête
à troquer contre une toute nouvelle attitude, révolutionnaire pour moi, de "FRUGALITÉ"
qui n'existait ni dans mes pensées, ni dans mon vocabulaire et encore moins dans mes actes!
J'introduis le jeûne et les
mono-diètes dans ma vie hebdomadaire et petit à petit je pense vraiment
m'affiner durablement cette fois!
Soyons clair, un jeûne ISOLÉ ne fait absolument pas maigrir ! Si vous perdez
quatre ou cinq kilos en une semaine de jeûne, vous en reprenez la moitié la
semaine suivante et si vous remangez n'importe quoi forcément vous reprendrez
tout et un peu plus -comme dans les régimes!
Nous verrons plus loin que, cependant, UNE AUTRE FORME DE JEÛNE PERMET DE VENIR A BOUT DE SON OBÉSITÉ!
D'AUTRES RAISONS
QUE LE POIDS M'ONT AUSSI POUSSÉE À EFFECTUER CE JEÛNE :
-Le besoin deme recentrer et de me ressourcer pour nettoyer non seulement mon corps
mais aussi mes états-d'âme et mes priorités;
-Des douleurs permanentes dans tout le corps
depuis la paralysie et des crampes épouvantables dans les mollets ayant
justifié plusieurs trajets aux urgences;
-Une démarche de petite vieille endolorie me
faisant paraître 15 ans de plus quemon âge;
-Une fatigue permanente;
-La peur sournoise de développer une maladie plus
grave;
-Des baisses de moral.
Tout cela a spectaculairement disparu en une semaine de
jeûne!
Si vous aussi vous
souffrez, quel prix êtes-vous prêt à mettre pour que cela cesse? Une petite
semaine sans manger est-ce envisageable?
IL EXISTE DES CONTRE-INDICATIONS AU JEÛNE ALORS SURTOUT NE VOUS LANCEZ PAS SANS ENCADREMENT ! Voici quelques contre-indications : Malades épuisés,
dévitalisés, sous médication chimique lourde, faiblesse, carences
nutritionnelles, personnes maigres, tuberculose, dégénérescence musculaire, diabète insulino-dépendant,
maladies rénales, grossesse et évidemment… "phobie du jeûne"!
LES VERTUS DU
JEÛNE :
Eric Gandon, naturopathe spécialisé en accompagnement de
jeûne, en dénombre plus de 200 sur son site allant de Abcès à Zona!
Quatre maladies sur cinq seraient directement ou
indirectement dues aux toxines stockées dans l’organisme. En permettant une
profonde détoxination, le jeûne permet de nous désencrasser et de renouveler
nos cellules. Il améliore les fonctions suivantes :
·Les défenses immunitaires : en trois jours
seulement le jeûne renouvèlerait totalement le système immunitaire. Le jeûne
ralentit la croissance des tumeurs malignes et en élimine. Il permet de mieux
supporter les effets de la chimiothérapie et en renforce l'efficacité.
·Les maladies du métabolisme : hypercholestérolémie,
le diabète de type 2,
·Les douleurs rhumatismales, les tendinites, les
contractures, la fibromyalgie, l'arthrose,
·Les troubles mentaux, dépression, épilepsie, maladies
d’Alzheimer et de Parkinson.
FONCTIONNEMENT DE L’ORGANISME PENDANT LE JEÛNE
Notre organisme a besoin de
sucre pour fonctionner. Soit on en absorbe, soit il en fabrique à partir de nos
réserves.
Voici schématiquement les
différentes étapes du jeûne :
·1er
jour d'abstinence : le système digestif se met progressivement au repos. L'intestin
se vide complètement en 24 à 48h. L'organisme va prendre les sucres disponibles
: il y a seulement une réserve de 24h dans notre sang et dans notre foie qu'il utilise alors.
·2e
et 3e jour d'abstinence : l'intestin finit de se vider. Le système
digestif est totalement au repos et il n'y a plus une goutte de sucre
disponible dans notre organisme. Il se tourne alors vers nos protéines pour
fabriquer du sucre. Pendant deux jours, notre corps va puiser dans nos muscles
pour fabriquer du sucre. Cette fonte musculaire que nous ne souhaitons pas ne
dure essentiellement que ces deux jours-là.
·La crise
d’acidose : Au bout du troisième jour de jeûne, peut survenir la crise
d’acidose qui annonce le début de la désintoxication: le taux d’acidité dans le
sang augmente engendrant une sensation de faiblesse, des nausées ou des
migraines. Une bonne préparation diminue notablement les effets de cette crise qui
ne dure que 24h à 48h. Les symptômes de nos pathologies peuvent aussi être un
peu amplifiés pendant cette journée. Une fois la crise d’acidose passée, nous
ressentons une véritable sensation de bien-être.
·À partir
du 4e ou 5e jour et pendant tout le reste du jeûnequi peut durer des
semaines (en fonction de votre poids initial évidemment!) notre organisme va transformer nos lipides en
sucre pour assurer ses fonctions, grâce au travail de nos émonctoires, essentiellement notre foie et nos reins. Là c'est la bonne nouvelle : à partir du 4e
jour nos graisses fondent de manière spectaculaire! Non seulement nous mincissons
mais les corps cétoniques ainsi libérés nous rendent euphoriques.
D'où l'intérêt de privilégier
les jeûnes longs car ce sont les trois premiers jours les moins confortables
quelle que soit la durée totale d'un jeûne. Plus on avance dans le jeûne plus
notre vitalité augmente et l'on n'a aucune sensation de faim dès que notre organisme
est en mode "Je me nourris des graisses".
COMMENT PRATIQUER LE JEÛNE POUR VENIR À BOUT DE SON OBÉSITÉ ?
Découvrez les explications de Thierry Casasnovas pour comprendre :
1 - Pourquoi les régimes restrictifs ne fonctionnent pas, sont dangereux pour la santé et font inévitablement reprendre du poids.
2 - Pourquoi le jeûne fonctionne totalement différemment sur notre métabolisme et est finalement la seule manière de venir à bout de notre maladie d'obésité.
RÉSUMÉ
Les Homo Sapiens apparaissent il y a environ 200 000 ans et jusqu'à la révolution néolithique, environ 12 500 ans av. J.-C., ils vivent dans des abris et tirent leur subsistance de la chasse, de la pêche et de la cueillette. Inévitablement, à cette époque, ils alternent les périodes de jeûne et les moments de fiesta quand la chasse est bonne. Pendant près de 190 000 ans la norme humaine va donc être une alternance de privations et d'excès et non pas un régime régulier!
Entre l'an 12 500 et l'an 7 500 av. J.-C., de petites communautés humaines se sédentarisent et développent l'agriculture céréales (blé et orge), légumineuses (pois et lentilles) et l'élevage en complément de la chasse, de la pêche et de la cueillette. (Notons au passage que l'être humain est clairement omnivore et absolument pas végétarien de nature.)
C'EST À CE MOMENT-LÀ SEULEMENT QUE NAIT L'HABITUDE DES TROIS REPAS PAR JOUR À HORAIRES RÉGULIERS POUR FAIRE FACE À LA FATIGUE DU TRAVAIL DE L'AGRICULTURE.
Et encore, même à cette époque, les notables eux continuent à ne faire que deux repas par jour. Finalement l'homme a passé bien plus de millénaires à manger moins de trois repas par jour que ces sacro-saints trois repas par jour érigés aujourd'hui en dogme quasi religieux. Aujourd'hui, nous sommes beaucoup trop sédentarisés et sommes à l'opposé d'un travail physiquement énergétivore justifiant cette prise de trois repas par jour : au réveil, à 10h, et entre 16h et 18h.
Aujourd'hui certains grignotent en plus entre les repas ce qui fait qu'ils digèrent à longueur de journée, de 7h du matin à minuit avec le dernier carré de chocolat devant la télévision! Ajoutons à cela, il y a moins de 100 ans seulement, le cauchemar de l'apparition de la nourriture industrielle qui au lieu de nous apporter des nutriments vitaux nous épuise dans la digestion de calories "vides" et au passage l'élevage industriel qui est une torture généralisée des animaux!
ALORS ET SI ON REMETTAIT EN CAUSE CE DOGME DES TROIS REPAS PAR JOUR?
Que se passerait-il d'autant plus qu'une étude américaine publiée en 2015 démontre que manger trois fois par jour n’aurait pas d’effets bénéfiques sur la santé ni sur le poids.
Je vous invite à visionner la vidéo ci-dessus de Thierry Casasnovas permettant de comprendre le fonctionnement de l'insuline et le fait que ce qui nous permet de perdre de la graisse n'est que peu en lien avec la quantité de calories que nous absorbons et/ou la quantité d'activités sportives que nous pratiquons (même si c'est excellent pour la santé) mais est en lien AVEC LE NOMBRE D'HEURES PENDANT LESQUELLES NOUS JEÛNONS CHAQUE JOUR!!!
Car c'est seulement pendant nos heures de jeûnes, et à condition qu'elles dépassent 12h par jour, que nous pouvons nous attaquer à nos réserves de graisse.
LE JEÛNE INTERMITTENT POUR VENIR À BOUT DE SON OBÉSITÉ
C'EST AINSI QUE LA MEILLEURE MANIÈRE DE PERDRE DURABLEMENT DU POIDS, SANS BAISSER SON MÉTABOLISME ET SANS ÉPROUVER DE FATIGUE EST DE NE FAIRE QUE DEUX REPAS PAR JOUR ET, SI ON EN EST CAPABLE, MÊME UN SEUL REPAS PAR JOUR!
L'intérêt de pratiquer de temps à autre un jeûne plus long, d'une semaine par exemple, est de nous donner confiance en nous, en notre capacité à jeûner, à réaliser que l'on ne souffre pas de la faim, que l'on n'est pas faible mais au contraire de plus en plus en forme.
CE N'EST DONC PAS LE JEÛNE D'UNE SEMAINE QUI VAINCRA NOTRE OBÉSITÉ, C'EST LE FAIT DE DIMINUER LE NOMBRE D'HEURES PENDANT LESQUELLES NOUS NOUS ALIMENTONS CHAQUE JOUR ET D'AUGMENTER NOTRE DURÉE DE JEÛNE QUOTIDIEN EN SUPPRIMANT TOTALEMENT LE MOINDRE GRIGNOTAGE EN DEHORS DE NOTRE FENÊTRE D'ALIMENTATION!
Voilà comment on renoue avec notre nature humaine, le bon sens et notre santé. C'est de cette frugalité là dont je parlais plus haut.
ELLE NE CONSISTE DONC PAS, COMME DANS LES RÉGIMES, À MANGER MOINS À CHAQUE REPAS MAIS À MANGER PLEINEMENT À NOTRE FAIM À MOINS DE REPAS.
Parce que notre nature d'humain est faite pour cela!
Pour nous les obèses qui avons expérimentés héroïquement tous les régimes du monde, manger ce que l'on veut DE SAIN pendant certaines heures seulement devrait être un jeu d'enfant!
Je m'y mets de ce pas et la suite dans un prochain article! Merci pour vos témoignages dans les commentaires et partagez cet article pour que l'on ait le plus d'avis possibles!
RESSOURCES
- Jeûner en Allemagne et en Espagne dans la Clinique Büchinger qui a
rendu célèbres les jeûnes thérapeutiques. Environnement médical idéal
pour les personnes souffrantes ou inquiètes de jeûner : https://www.buchinger-wilhelmi.com/fr